Ambazonia Diaspora Entertainers. Une troupe théâtrale bien particulière
Pour les activistes séparatistes, tous les moyens sont bons pour susciter un peu d’intérêt pour leurs messages. Et la dernière astuce aura été bien singulière.
Pour les activistes séparatistes, tous les moyens sont bons pour susciter un peu d’intérêt pour leurs messages. Et la dernière astuce aura été bien singulière.
Un rapport spécial des Réseaux d’information régionaux intégrés (IRIN) publié le 2 août 2018, décrit comment les amulettes et des drogues inhibent tout sentiment de peur chez les sécessionnistes.
Tweets et posts Facebook, images truquées, vidéos bidouillées, auraient-ils suffi pour briser l’élan admirable du Cameroun sur la route de l’Emergence ? Que nenni ! La réalité étant plutôt avantageuse pour le pays de Paul Biya.
L’alerte serait venue des autorités gouvernementales. Certains donneurs de leçons auraient crié à la manipulation de l’opinion. Les bandes armées sécessionnistes excellent pourtant dans le grand banditisme, tel que le révèle l’un des activistes les plus suivis de la Toile. Les témoignages des victimes confirment ce phénomène.
Les « blacklegs » ou « Jambes noires », sont les individus qui, en raison de leur proximité avec les institutions ou les idées républicaines, sont obligées de se cacher ou de s’enfuir au risque de périr sous la folie meurtrière des sécessionnistes.
Des tentatives de déstabilisation du principal pilier pluridimensionnel de l’Afrique centrale commencent à faire un joli chapelet d’échecs, que l’on peut clairement égrener sous le soleil, sans peur de se faire reprendre par quiconque, tout en mettant à nu les acteurs funestes ligués contre l’épanouissement du Cameroun.
Ce qui se passe ces derniers temps dans le cadre de crise anglophone relève tout simplement du banditisme, du gangstérisme, en plus d’être du terrorisme.
En assassinant la semaine dernière quatre soldats et deux policiers, les sécessionnistes réunis au sein du SCARCFUF ont bien montré qu’ils ne sont rien d’autres que des terroristes. Et ce d’autant plus que ces assassinats ne sont point les premiers. Quelques semaines plutôt en effet, ils s’étaient déjà rendus coupables de crimes horribles : quatre gendarmes …